YU 1
YU 1, fille de AIM 368, la jeune chef de la délégation ummite sur Terre dans les années 1960 ; morte par accident en Yougoslavie à la date inconnue (entre 1968 et 1973).
Ce nom est cité dans les lettres ummites (D) et terriennes (E) :
- en février 1966 (D40) ;
- mai 1966 (D21) ;
- 1966 (D27 ; D41-3 ; D49) ;
- novembre 1966 (D51 ; E38) ;
- mai 1967 (E3) ;
- juin 1968 (D69-5)
POSTHUME
- mai 1979 (D116) ;
- janvier 1988 (D792-2).
Sommaire
Autres orthographes
YOO 1, fille de AIM 368 (D28 ; D38).
YU 1 fille d'AIM 368 ( D69-5).
YUU 1, fille de AIIM 368 (D54).
Yu un, fille d'Ain 368 (E3).
Citations
L'art du mélange des parfums sur UMMO
Une femme intelligente n'est pas toujours une bonne mélangeuse et vice-versa. Par exemple: YU 1 fille d'AIM 368, le jeune chef de notre mission sur Terre à qui nous sommes soumis, reconnaît être une très mauvaise mélangeuse. En vérité à ce niveau, elle ne serait pas l'épouse idéale mais bien sûr nous, les hommes d'UMMO, tenons compte d'autres facteurs spirituels et intellectuels ainsi que de la beauté de la femme.
Années 1950-1960
Une de mes sœurs, YU 1, était alors sur Terre comme chef de l'expédition (malheureusement depuis morte par accident), femme intelligente qui savait comme personne comprendre votre psychisme, elle comprenait que le risque était minime, contrairement à WIIBEAA 43, fils de WIIBEAA 40, qui refusait avec emphase d'établir aucun contact. Les thèses de ma sœur prévalèrent à cette époque.
Au début, vos réactions semblèrent donner raison au second. Un grand nombre de correspondants crurent en nous et arrivèrent à un degré de mythification de notre humanité frisant le danger du point de vue de l'hygiène et de l'équilibre mental. On courait le risque que la nouvelle filtrât en créant des courants de turbulence sociale autour de ces êtres procédant d'un autre astre froid. De fait, les informations sur l'UEUA OEEMM (nous appelons ainsi les OVNIS) créaient une grande psychose à l'échelle mondiale sur Terre, et nous n'aimons pas jeter de l'huile sur le feu, comme vous dites en Espagne. Comment pourrions-nous convivre avec vous si des rumeurs circulaient sur notre aspect ? Il était dangereux d'apporter trop de preuves de notre existence réelle. Alors, on mit en place une stratégie tendant à apporter de fausses données mêlées à des vraies, en avertissant noblement dans nos rapports que nous étions en train d'opérer ainsi, et que vos frères modèrent leur foi en nous.
Cela, monsieur Luis Jiménez, peut paraître singulier et étrange. Si vous analysez impartialement les circonstances, cela ne l'est absolument pas. Vos frères se sont transformés en d'excellents amis à nous. Mais une vraie amitié comporte pour nous une attitude protectrice. Vous êtes de la TERRE. Vous vous devez spirituellement à votre culture, à votre histoire et à vos frères, nous ne pourrons jamais vous aliéner, et vous transformer en disciples serait quelque chose de récusable selon nos principes. Aurions-nous pu l'éviter, si nous vous avions offert la preuve irréfutable de notre existence ? Même ainsi certains se sentiront séduits par nos notes. Ummo se transforme dangereusement en un méta idéal de vos existences et en cela nous pose un difficile problème de conscience.voyagent en Israël et en Égypte et ensuite en Jordanie pour capter des informations.
- Voir aussi : Musées dédiés à OYAGAA
Février 1966
Une consultation, faite récemment auprès de notre supérieure YU 1, fille de AIM 368, pour lui demander d'atténuer la rigidité de ces normes et même de les supprimer totalement après avoir pu vérifier l'innocuité de leur transgression après quelques mois écoulés, donne comme résultat une autorisation de vous communiquer qu'une partie de ces instructions étaient abrogées.
Notre supérieur en Espagne, DEII 98, fils de DEII 97, continua en estimant que le maintien des instructions restantes était inefficace et inopérant en discréditant ouvertement le jugement de notre jeune supérieure. Mais nous attribuons ceci au fait que d'autres affaires, beaucoup plus importantes que cette mineure question de forme, l'ont empêchée de faire cas de cette demande. Mais la soumission aveugle que nous lui devons nous oblige à accepter son critère qui, dans ce cas, est à l'évidence capricieux.Lettre au rédacteur en chef d'une revue
Monsieur,
Nous avons suivi ces dernières semaines, l'insertion dans la revue que vous dirigez, d'une série d'articles concernant la civilisation de notre Planète UMMO. [...]
Novembre 1966
.../...
Le 6 juin [1967], je reçus une lettre du dactylographe qui m'annonçait le départ du groupe d'oummains qui avait été envoyé sur Terre, avec à leur tête YU-1 fille de AIM-368 qui résidait en Australie. Le départ précipité était certainement du à l'imminence de la guerre arabo-israëlienne qui éclata quelques jours plus tard et dont ils pensaient qu'elle serait de type nucléaire.Mai 1967 : chez un dactylographe madrilène
.../... Nous sortîmes ouvrir, très nerveux. Accompagnées par DEI 98 il y avait deux jeunes filles. Une très grande et l'autre beaucoup plus jeune et menue. Elles avaient des manteaux en daim très modernes de couleur marron pour la plus grande et vert paille pour la plus jeune. Nous savions déjà qu'il s'agissait de la supérieure car elle avait un sac à main, mallette en skaï ou plastique avec une inscription BEA des lignes aériennes. Elles n'avaient pas d'autres affaires. Les deux étaient blondes et la chevelure tombante. Elles portaient des vêtements très modernes mais discrets. .../... La plus menue (qui était le chef) avait l'accent anglais et parlait très mal l'espagnol bien qu'elle le comprît. Elle se dirigea vers ma femme et lui dit qu'elle la remerciait de tout cœur pour l'hospitalité du "pays Espagne". Nous passâmes tous dans la salle à manger [...].
[...] au moment où nous nous sommes assis la demoiselle "Yu" un, ma femme et moi, la plus grande qui s'appelait quelque chose comme UUOO cent vingt et quelque chose et Dei 98 qui est l'homme qui m'a le plus impressionné dans ma vie par son intelligence infinie, restèrent debout, ce qui créa une situation pénible et à ce sujet je fais une critique, car bien qu'il s'agisse d'une de leurs coutumes de rester debout face à un supérieur, ils durent se rendre compte que ma femme et moi étions très gênés.
[...] je notais que chaque fois qu'elle leur demandait quelque chose ils répondaient en baissant les yeux comme s'ils n'osaient pas la regarder. C'était presque une enfant, d'après ce que nous savons, elle ne devait pas avoir plus de dix-neuf ans mais en paraissait seize. L'autre devait avoir vingt-trois ou vingt-cinq ans. Ensuite ce qui nous choquait, ma femme et moi, c'est que ce soit la plus jeune qui commande et nous ne nous sommes pas gênés pour le leur dire. Les trois se mirent à rire et elle me dit qu'il ne fallait pas croire que toutes les jeunes filles commandaient sur UMMO, et que cela dépendait de nombreux facteurs.
Nous parlâmes beaucoup des coutumes espagnoles. La seule chose qui lui répugnât était les taureaux. Elle nous posa beaucoup de questions sur le régime espagnol, elle était au courant de beaucoup de choses, du référendum et même des Cortès, et je lui dis que depuis la guerre où les rouges avaient tué mon père, nous n'aimions pas beaucoup parler de politique. Je fus stupéfait de ce qu'elle savait. Ma femme l'écoutait très intimidée, sans oser parler. Elle s'en rendit compte et avec beaucoup de douceur commença à parler de la cuisine espagnole et qu'elle était triste de savoir que les femmes espagnoles lisaient peu et qu'elles n'étaient pas formées intellectuellement comme les hommes, alors qu'elle était sûre que la féminité ne se perdait jamais avec une plus grande éducation. Ensuite, elle regarda l'autre en souriant et celle-ci ouvrit le sac et remit à ma femme une merveilleuse encyclopédie du foyer avec des planches en couleurs et en espagnol.